À la fin du deuxième volume, les « gosses » de la section Peyrac sont suspectés par Vialatte et surtout le capitaine Janvier d’être les assassins des quatre jeunes femmes. Mais Raton, Surin, Jolicoeur, Jojo, Planchard et Le Goan succombent à une attaque des Allemands. Le caporal Peyrac, lui aussi, est porté disparu. Quand débute le troisième tome, nous sommes en mai 1917, vingt-sept mois plus tard. Le lieutenant Vialatte est versé dans les chars, en première ligne. Gravement blessé, il sera soigné à l’hôpital militaire du camp de Marly-le-Roi. À sa surprise, le désormais commandant Janvier vient lui rendrevisite. « Vous vouliez rendre justice à ces malheureuses femmes et à ces gamins perdus ? Je vous en redonne le pouvoir », lui dit-il en substance. Vialatte, tout juste remis de ses blessures, reprend donc son enquête à zéro…
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